Des tatouages dignes d'un maître de l'air ≈ Un amour inconditionné pour les chats. ≈ Un élément interdit, mais pas moins difficile à contrôler. ≈ Un drôle de passe-temps parfois un peu chiant. ≈ Tantine, le bison volant, une histoire à faire peur aux enfants. ≈ Amateur de jeu, parfois même un peu trop accroc. ≈ Plus grand cauchemar, se faire rabaisser. ≈ Pause sieste, doux moment à passer aux côtés d'un chat. ≈ La chaleur difficile à supporter. ≈ Une réputation aujourd'hui disparue. ≈

HISTOIRE ≈ Les Lysgenzai. Il fut un temps où il n'était pas rare de nous rencontrer dans notre riche bâtisse, mélangeant alors toutes les générations possibles sans que nous ne soyons obligé de nous cacher. On pouvait alors retrouver mes grands-parents, mes parents ainsi que mes deux frères et ma grande sœur. S'il y avait des journées où cette cohabitation pouvait provoquer quelques gênes, rare étaient malgré tout les événements où les membres de la famille se disputaient entre eux. Nous préférions bien mieux passer nos journées à nous divertir de diverses manières et de profiter de la vie sans même nous préoccuper des autres personnes ou du temps qui s'écoulait, jours après jours. Bien évidemment, moi-même je ne m'entendais pas forcément avec tout le monde dont ma grande sœur par exemple ou même mon père. La première désirant toujours dicter ses cadets tout comme mon vieux qui avait déjà écrit mon destin dès mes premiers cris. Autant vous dire qu'ils eurent beaucoup de soucis à se faire alors que je me trouvais être en quelque sorte le trublion de la famille, toujours prêt à faire des bêtises en cassant des vases et en salissant des tapisseries par exemple. Néanmoins, je ne restais pas moins agréable. Bien plus agréables que mes parents en tout cas alors que justement les Lysgenzai étaient assez réputés pour être méprisables et avides de pouvoir en plus d'être avare alors qu'ils durent travailler longuement et durement pour avoir un luxe généreux. Personne ne savait donc qu'à cet époque, les nôtres allaient se faire décimer presque un à un sans que même l'argent dont ils chérissaient tant n'allait les sauver de la guerre ou de la rébellion. Nous prospérions dans la plus grande des tranquillités et pour ma part comme pour le reste de mes frères et de ma sœur, nous nous occupions surtout de notre éducation avant de penser à autre chose. (la suite ici)