prénom, pseudo ≈ blastoise. ou MINDBLOWNED* aka amélie âge ≈ 22 ans avis sur le forum ≈ troooooop magnifique    comment l'as tu découvert ≈ sur bazzart! Je suivais distraitement votre progression jusqu'à ce que je réalise que vous étiez finalement ouvert!   Donc me voilà    personnage ≈ () inventé () prédéfini (x) scénario de la sublime Circée    dernier mot ≈ peter pan c'est du beurre d’arachide *sort*

part one.

why you aren't bad for loving your abuser

Il court dans la maison, brandissant victorieux sa nouvelle découverte. Il était tellement concentrer sur ce qu'il avait a la main, qu'il ne prit pas la peine de nettoyer ces bottes, comme sa mère n'arrêtais pas de lui demander. Il ne pensa même pas à les retirer, tellement il était surexcité. « Maman, maman, maman ! » Il arrête devant elle, brandissant son poing fermé. De la terre noir tombe de son poing, s'écrasant mollement sur le sol. Il sourit, content de pouvoir partager sa découverte. Elle lui lance un sourire nerveux et se penche devant lui, regardant son poing d'enfant. Elle regarde des deux côtés puis reporte son attention sur l'enfant. « Qu'as-tu trouver aujourd'hui Doran? » Ne remarquant pas le comportement de sa mère, il ouvrit son poing, montrant un magnifique papillon blanc. Il était là, dans sa main, bougeant légèrement ces ailes sans décollé. Il sourit doucement puis rit, un petit rire d'enfant heureux et souvent contagieux: « Regarde maman! Je crois qu'il m'aime ». Elle sourit faiblement, regardant le petit papillon dans la main de son fils. Elle lève les yeux nerveusement vers l'horloge. Elle dépose sa main sur la tête de son fils, frottant doucement ces cheveux. « Il est magnifique mon chéri, mais je crois que tu devrais le rapporter dehors avant que... » Le sons de la porte d'entré résonne jusque dans la cuisine suivit d'un claquement sourd de souliers frappant les parois du garde-robe. Elle se lève rapidement, se distançant de l'enfant sans même le réaliser. Il fronce des sourcils, levant la main plus haut vers sa mère « Tu ne l'aimes pas maman? » Le plancher commence maintenant a vibré et le papillon s'enfuit de sa main. L'homme de la maison franchi la porte de la cuisine, une expression inconnue au visage. L'enfant est incapable d’identifier l'expression de son père, il recule, ne sachant pas comment interpréter. Les bottes de l'enfant grincent sur le planché, résonnant dans toute la pièce. Son père se retourne, le regarde. Lentement, son regard tombe sur les traces de bous et de terres parcourant les tuiles blanches de la cuisine. Ne disant rien, il lève son regard du plancher vers son fils, son expression toujours neutre. « Doran » L'enfant frissonne. Son visage était peut-être impassible, mais sa voix elle, était glaciale. Doran recule. « Je... » Il regarde le plancher, remarquant les traces qu'il avait laisser partout. « Je... J'ai trouvé un papillon...» Il ne la pas vu bouger: son père était devant lui, sa main serrant son bras. L'enfant grimace de douleur, sa peau pinçant sous les gros doigts de son paternel. « Et dans ta naïveté, t'as pas pensé a retirer tes bottes avant d'entrée comme ta mère te le demande a tour de bras? » Il serre un peu plus le bras du gamin. La mère se met dos a la scène, sortant une bouteille d'alcool du cabinet. Doran regarde sa mère, puis son père, les larmes aux yeux sous la pression. « Je...» Un sons éclate dans la pièce et une empreinte rouge apparait sur sa joue de l'enfant. Le père le secoue fortement. « Combien de fois est-ce que je t'ai dis de pas pleurer?! T'es pas une gamine, tes un hommes! Tes un Corleone et les Corleone ne pleurent pas comme des mauviettes! » L'enfant secoue la tête, pleurant silencieusement. « Mais papa... » Le père secoue l'enfant violemment, le laissant tomber sur le sol froid. La mère regarde ailleurs, ignorant complètement la scène devant elle. Elle remplit maintenant son deuxième verres, essayant d'ignorer les pleures de son fils. Elle n'intervient pas.  Elle ne prend même pas la peine de regarder ce que son mari lui fait subir, sachant bien qu'elle ne pourrait rien faire. Si elle n'avait aucun pouvoir sur la chose, pourquoi tenter de faire quoi que ce soit contre? Ce battre contre l'inévitable et se prendre des coups? Pas la peine. Elle termine son deuxième verre et remplit le suivant. Le père et debout devant son fils, lui lançant un regard menaçant. « Combien de fois faut-il te répéter les choses? Je t'ai dis de mettre le masque! » Une autre claque vole. « Tu croyais que c'était une option? Tu oses me désobéir, moi ton père!? » La seule chose que l'enfant peut faire est de se mettre en boule sur le sol. Il cache sa tête avec ces bras, comme sa mère lui avait montré depuis le premier jour. Les obscénités que lui crachait son père après chaque coups de pieds devint un bruit de fond sous la concentration de Doran. Il ne devait pas pleurer. Il n'osait pas.

part two.

war does not determine who is right only who is left

Dans quoi est-ce qu'il c'était embarqué? Crépitant d'anxiété et de peur, le jeune Corleone ne pouvait pas resté immobile sur le champ de bataille.  Sautant du pied et de l'autre, il regardait le front devant lui. Il attendait le moment ultime, le moment ou son commandant lui ordonnerait de courir sur le terrain vague et de représenter sa nation. Dans le chaos devant lui, il ne pouvait que repenser en boucle le discoure du commandant avant que celui évacue le champs de bataille. « Mes très chers soldat! Mes combattants, mes hommes! » Il brandissait ces bras dans les airs, comme s'il était déjà victorieux avant même d'avoir frôler le plateau. « Aujourd'hui est une magnifique journée! Une journée ou nos ennemies bruleront sous nos puissantes fiâmes!  Aujourd'hui nous montrant qui est le plus fort! Qui est la nation dominante! » On pouvait entendre les soldats crié « Feu, Feu, Feu! » Comme si les autres nations avaient un doute de leur pouvoir et de leur détermination.  « Aujourd'hui ! Les rebelles vont regretter amèrement d'avoir osé nous défier de nouveau! Aujourd'hui, ils tomberont avec tout ceux qui on refusé de se prosterner à notre domination! » On pouvait entendre les soldats criés de conviction, incluant le jeune Doran. La nation avait été trahie et maintenant c'était le temps de leur rendre leur monnaie de sa pièce. Doran était complètement perdu dans ces pensé jusqu’à ce qu'un jeune homme lui tape l'épaule. Il cligne cligne des yeux et tourne son regard vers l'homme prêt de lui. « Kam...»  Il lui lance un sourire pour le rassuré et lui donne une tape sur l'épaule. Un sourire avant la bataille... Seulement Kam était capable de se genre de prouesse, de sourire dans les pires des situations. Un optimiste comme jamais vue. « Tu sais que tu t'inquiètes pour rien, hein? » Il lui tape doucement l'épaule, comme si c'était complètement ridicule de s'en faire pour si peu. « Tu sais très bien qu'ils ont aucune chance contre nous! Nous sommes de la nation du feu! » Il rigole et avance, se préparant pour la victoire. Doran s'avance également, rassurer par le comportement de son camarade et son seul ami. Une longue lingue de soldats étaient prêt à attaquer et attendaient que le signale. Il se mit en position prêt de Kam, le regardant. Son ami était tellement confiant, tellement sur de lui que Doran sentit de l'espoir monté en lui. Peut-être n'allait-t-il pas faire honte de lui sur le champs de bataille comme son père l'avait prédit. Son ami lui sourit et le signale retentit. Tous commence a avancer, déjà en position de combat. Une seconde le terrain était vide et l'autre on pouvait voir leurs cibles. Les pas de Doran ralentissent sans même qui s'en rendre compte. Il y a tellement de monde devant lui... Il secoue de la tête et rejoint son ami qui lui était surexcité. « C'est le moment Doran. On va leur montré qui nous sommes ! » Il n'a même pas eu le temps de lui répondre qu'il courait déjà, en criant. Tous le prit comme l'ultime signale et le suit, écrasant contre la ligne de l'ennemi. Des flammes émergent soudainement de partout sur le front accompagner par... des cris. Des centaines de cris, sortant des petites maisonnettes devant eux. Les maisons brulaient sous le feu des soldats. C'est a ce moment la que les derniers mots de son commandant résonna dans sa tête. « Détruisez tout sur votre passage. Rien ni personne ne doit échapper a vos flammes. Bruler tout sur votre passage! » Les gens du village sortent en courant de leur maison, pleurant et criant. Certain, ceux qui étaient les plus courageux, se sont mis devant l'armée pour défendre leurs maisons. Le jeune Corleone suit son ami de prêt, défendant son dos. Kam était du genre volatile et ne prenait pas la peine de faire attention a ses arrières. Donc Doran devait toujours s'occuper de son ami, anticipant chaque mouvement que lui n'était pas capable voir.  Mais même lui n'a pas pu anticipé l'énorme pierre qui attaqua son ami et l'écrasa sur le sol. Il se retourna et regarda se qui restait de son ami. Il était complètement figé. Il ne pouvait pas détacher son regard du corps de son ami, écrasé sous un énorme caillou. C'est là qu'il perd tout contrôle. Il voit que du rouge. Du rouge partout, des lignes et des éclats d’écarlates devant son champs de vision. Il ne se rappelle même pas avoir bouger ou même d'avoir cligner des yeux. C'est comme si sont corps avait bougé sans même lui avoir demander: c'est comme s'il ne pouvait pas contrôler cette rage en lui...  Tout autour de lui, le village et tout ces habitants étaient devenus des cendres. Il ne restait rien, mais sa soif de vengeance, cette tempête qui sème la pagaille dans son âme était toujours là, à bouillir. Il avait besoin de plus. Plus de sang. Certain disent que ces yeux sont devenu noir et dévoué de pupille, comme s’il était possédé par un démon. Corleone, accompagné de son daemon au pelage souillé, marche hors du village et vers le second. Il détruit le village a lui seul. Il avait aucun remord, aucun sentiments, aucune émotions. Son père à finalement eu se qu’il désiraient temps : un fils portant finalement son masque. Dommage qu’il n’avait pas prévue ce que cela ferait de son fils : un des hommes les plus sanguinaire de la nation du feu.

part three.

no one achieved greatness by playing it safe

Il se relève du sol froid, se tournant la tête pour craché plus loin. Du sang mélangé a de la bave coule sur sa lèvre. Il pourrait prendre le temps de l'essuyer, cette bave qui coule maintenant sur son menton. Mais il n'est pas assez fou pour lâcher son compétiteur des yeux. Sa bave ensanglantée coule maintenant sous son menton, laissant une ligne écarlate sur sa peau. Ces mains chauffes. Il bouge ces doigts qui craquent instantanément. Il lance un regard a son ennemi, le fantôme d'un sourire apparait au coin de ses lèvres. Le pauvre mec tombait dans son piège sans même s'en rendre compte. Un abruti assurément. C'est vrai qu'il a donner de bon coups sans que Doran puisse les bloqués. Il met une main sur ses cotes, se penchant légèrement du même coté. Il titube un peu vers la gauche, montrant de la faiblesse a son ennemi. Son rival sourit, voyant déjà la victoire. Il s'avance, prêt a terminer le combat. Il est essoufflé, ayant dépensé tout son énergie a battre le jeune Corleone. Prenant un élan, il s'empresser de sauté sur son rival. Il était tellement concentré sur son mouvement qu'il ne le vit pas bouger. Doran le contourne rapidement et l'attaque par derrière. Après une combinaison complexe, il attaqua de nouveau son compagnon qui vola maintenant a l'extérieur du tapis d'entrainement, s’écrasant sur le béton froid. Personne n’applaudit. Personne ne se leva pour aller aider leur compagnon, maintenant immobile sur le béton, du sang coulant lentement sur le sol. Il y avait une règle dans la ligue : tu dois te t’arranger tout seul parce que si tu dois compté sur les autres pour faire ton boulot, tu n’iras pas très loin.  Doran sort de l’arène, prenant soin de regarder son entraineur, attendant les prochaines directives comme un bon petit soldat.  L’homme le regarda et hocha de la tête. « Phase deux. » Il indique au jeune Corleone vers la porte du fond. Il marche avec détermination vers la deuxième partie du test, confiant comme jamais. Apparemment, cette partie du test est plus que difficile, elle est impossible. Toi-même contre tes propres peurs? C’était insurmontable comme test… Mais Doran était là devant ces instructeurs, un bon petit soldat devant son général. Il est prêt lui, a surmonté n’importe quoi. Dans sa tête, le plus complexe le problème, plus il sera satisfait du résultat. Après quelques minutes et l’arrivé de deux autre initié puis de l’instructeur du premier test,  l’homme devant lui pris la parole. Sa voix est froide et son regard ne montrant aucune pitié. « Voilà les choses qu’on m’envoie! Vous appelez ça des soldats? » Il se met devant Doran, son visage à peine quelques centimètres du siens. « Moi je vois que des mauviettes, des fillettes! » Le jeune homme regarde le vide, ne réagissant aucunement au commentaire du commandant. Il regarde le soldat devant lui, puis satisfait de sa soumission, commence a marcher devant la petite ligne de recrue. « Si vous croyez que le premier test était pénible, vous allez même pas survivre ce teste-ci. » Il lance un sourire sadique. « Oh, on va s’amuser maintenant! » Il s’arrête devant eux et les envoies séparément vers d’immenses portes rouges. Devant la sienne Doran n’hésite pas un moment avant d’entré. Il n’est pas du genre a pensé avant d’agir, mais plutôt d’improvisé. Il rentre et ferme la porte derrière lui. Il ne sait pas combien de temps il resta dans la pièce. Une heure peut-être deux? C’est comme si le temps avait arrêter a l’intérieur, laissant place qu’a la peur et le stresse. C’était un examen pour briser les plus faibles d’esprits, ceux qui ne pourrait jamais survivre sous pression, sous torture de l’ennemi. C’était ingénieux quand même, comme plan, de briser leurs soldtats potensiel pour pas qu’ils explosent pendant une mission… Bien pensé. Seulement les plus fort pouvoir survivre et quand le jeune homme passa le test, c’était claire  qu’il était un battant. Il sort maintenant de la pièce en sueur. Sa respiration est rapide et courte, mais il refuse de se pencher pour reprendre son souffle. Il ne venait pas de passé la deuxième étapes pour rien, pour être recalé à cause d’un manque de souffle! Il marche donc droit, suivant les instructions de son commandant gravé dans sa mémoire. Il trouve la porte blanche immaculée. Il ne prend même pas le temps de se poser de question qu’il rentre dans la pièce. L’intérieure de la pièce était aussi blanche que sa porte et dépourvue de meuble. La seule chose que la pièce contenait était un long miroir rectangulaire sur un mur, une chaise et son occupant. Doran hausse un sourcil et contourne la chaise. Il s’arrête devant, les bras de chaque côté de son corps. Sur la chaise ce trouve un gamin à peine âgé de dix ans. Il était attacché aux poignets et au cheville, ces yeux montrant de la terreur. Doran savait ce qu’il devait faire, ce qu’il devait accomplir pour sa nation. Il n’avait pas plus évident pour lui qu’un enfant de l’air, prêt a être assassiner pour leur cause. Il ne prit pas la peine de prendre une respiration : ça montrerait qu’il était faible. Il leva son bras et déposa sa main sur la tête du gosse. Le petit commence maintenant a pleureur, n’étant pas fou de croire que sa fin arrive. « Je vous ai tout dit ce que je savais! Je sais pas où ils sont! S’il vous plait laissé moi partir…» Doran le regarde puis secoue de la tête. Il l’incendia sur le coup. Les cris de l’enfant répercute sur les murs émaculé puis s’éteint finalement, laissant derrière lui qu’un silence lugubre. Le Corleone lâche maitenant l’enfant et en l’examinant le moins possible, se tourne pour sortie de la pièce. Son test était maintenant compléter.